Sainte beauté
Le dressage du portrait de la perfection
Un sourire illuminant le ciel tout noir
Frottant mon désir, objet de l’admiration
Beauté d’une rose, lancé dans forte gloire
L’existence irréel, souvenir d’la fraction
De l’homme qu’il était, sans l’amour, désespoir
D’un œil admirable, sans toucher, sans action
Mais jouant un rôle, faisant graves devoirs
Envie, de la baiser sur ses lèvres remplies
Main en main, cheminant la route vers les plaines
Vertu d’un gazon fleuri par des pissenlits
L’étonnement de la fraîcheur de ses beaux yeux
Mais son regard, n’est pas le mien, à œil de peine
Pour mes larmes qui coule devant ce grand Dieu