La noirceur de l’âme
Les journées de pleurs sont ainsi loin des pensées
Puisque la fortune s’est trouvée dans sa faveur
Gagnant le prix, le trésor de l’imagination insensé
Obtenant sa liberté d’amour comme les maitres-draveurs
Jouant le rôle du siècle, emboutit et gagnant la foule
Pour leur plaisir, se moquant de sa fière dignité
Mais comprenant rien, pourquoi cette chaloupe coule
Dans sa complexité de formes, il flottait avec fierté
Le serpent dans sa simple forme existe et survit encore
Glissant tranquillement dans notre vie, épeurant notre existence
Un genre amoindri par des siècles de malheur avec du tort
Le bonheur attendu ne joignant pas le cœur très profond
Puisque cette immensité d’émotions prend la présence
Et l’espace ouvert, noirci des pieds jusqu’au plafond